Dernière mise à jour à 08h34 le 18/08
Le plus haut planificateur économique de la Chine a annoncé jeudi avoir approuvé trois projets de transport pour un investissement total de près de 80 milliards de yuans (environ 12 milliards de dollars).
La Commission nationale du développement et de la réforme (CNDR) a approuvé un projet de 41 milliards de yuans pour agrandir l'aéroport international d'Urumqi dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest).
Deux pistes et un nouveau terminal de 450.000 mètres carrés seront construits afin de porter le nombre des passagers de l'aéroport à 63 millions et le volume du fret et du courrier à 750.000 tonnes d'ici 2030.
La CNDR a également approuvé le projet d'une ligne ferroviaire de 111,8 kilomètres entre les villes orientales de Shanghai et de Nantong, pour un investissement estimé à 36,8 milliards de yuans.
La construction d'un nouvel aéroport civil d'une valeur de 1,5 milliard de yuans dans la ville de Yulin de la région autonome Zhuang du Guangxi (sud) a également été approuvée.
De janvier à juillet, les investissements en actifs fixes en Chine ont augmenté de 8,3% en glissement annuel pour atteindre 33.740 milliards de yuans, contre 8,6% enregistré au premier semestre.
Le café, l'or noir de l'économie burundaise
Les investisseurs chinois en quête de bâtiments emblématiques à l'étranger
L'UE bientôt dépassée par les Etats-Unis en tant que premier partenaire commercial de la Chine
Chine : poursuite de l'expansion de l'activité manufacturière en juillet
Le centre subsidiaire de Beijing, véritable vivier d'emplois
Un nouveau prototype de monorail dévoilé
Recrutement de China Eastern Airlines à Rome
Deux sociétés chinoises signent un accord pour un câble sous-marin de 6 000 km
Ceux qui veulent nous rejoindre sur la messagerie WeChat, scannez le code QR ci-contre.
Paiement numérique : les Pékinois, les plus à la page
Le nouvel aéroport international de Beijing en construction
La Chine s’invite à l’Expo universelle d’Astana
Escale inaugurale d'un porte-conteneurs chinois
Des médecins volontaires soignent les Tibétains