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Aucune ingérence dans les affaires intérieures de la Chine ne pourra réussir

le Quotidien du Peuple en ligne | 11.10.2019 15h29

Le 7 octobre, les États-Unis ont invoqué la prétendue question des droits de l'homme pour imposer des sanctions à 28 agences gouvernementales locales et sociétés chinoises figurant sur leur « liste d'entités ». La conduite des États-Unis constitue une grave infraction aux normes fondamentales des relations internationales, une ingérence dans les affaires intérieures de la Chine et nuit aux intérêts de celle-ci. La Chine a pour sa part exprimé son vif mécontentement et son opposition résolue à cet acte et a exhorté les États-Unis à corriger immédiatement leurs erreurs, à revenir sur les décisions concernées et à cesser de s'immiscer dans les affaires intérieures du pays.

Les affaires du Xinjiang sont purement des affaires intérieures de la Chine et sont liées à la souveraineté, à la sécurité et à l'intégrité territoriale du pays. En ce qui concerne le Xinjiang, ce sont le gouvernement chinois et le peuple chinois qui ont le plus le droit de s'exprimer et aucun État ni aucune force extérieure n'a le droit de s'en mêler. Les États-Unis, sous le couvert des droits de l'homme, ont unilatéralement imposé des sanctions à des entités chinoises conformément à leur droit interne et ont profité de l'occasion pour dénigrer la politique de la Chine en matière de maintien de l'ordre, ce qui constitue une ingérence flagrante dans les affaires intérieures du pays. La décision des États-Unis a une nouvelle fois révélé leurs sombres intentions d'interférer dans les efforts de lutte contre le terrorisme au Xinjiang et d'entraver le développement stable de la Chine.

Il n'y a pas de soi-disant problème de droits de l'homme au Xinjiang. Les États-Unis ont à plusieurs reprises ignoré les faits, inversé le noir et le blanc et accusé la Chine sans aucune raison, et ils ont délibérément créé des prétextes pour s'ingérer dans les affaires intérieures de la Chine. Le terrorisme et l'extrémisme sont les ennemis publics de l'ensemble de la civilisation humaine. Le maintien de la stabilité sociale est l'aspiration commune de tous les peuples. Les mesures de lutte contre le terrorisme et l'extrémisme prises au Xinjiang visent à empêcher la croissance de ces deux fléaux à la source, conformément au droit chinois et aux pratiques internationales, et c'est un acte juste de respect et de sauvegarde des droits de l'homme. Les 25 millions de personnes de tous les groupes ethniques du Xinjiang ont largement soutenu les mesures en question et ont également apporté une contribution positive à la lutte contre le terrorisme dans le monde. Les actes de provocation des États-Unis contre la justice et la justice ne rencontreront sans le moindre doute que le dédain dans le monde.

Les efforts et les réalisations de la Chine dans la lutte contre la menace terroriste et l'élimination de ce danger sont également liés à la sauvegarde de la paix et du développement dans le monde. Comme le monde a pu le constater, la Chine a obtenu des progrès remarquables dans le cadre d'une série de politiques d'administration du Xinjiang. À l'heure actuelle, le développement économique du Xinjiang est bon, tous les groupes ethniques vivent dans l'harmonie et la stabilité sociale, et il n'y a pas eu d'attaque terroriste au cours des trois dernières années. Les envoyés diplomatiques et les journalistes de différents pays qui sont venus au Xinjiang pour des visites sur le terrain ont loué le fait que la création d'institutions de formation professionnelle et d'institutions de formation en Chine a été très positive pour aider les populations à éliminer l'influence des pensées extrêmes. De même, de nombreux pays ont souligné que des leçons pouvaient être tirées de l'expérience pertinente de la Chine en matière de lutte contre le terrorisme et d'élimination de l'extrémisme. Les faits parlent plus que les mots et les gens ont la justice au cœur. Les ambassadeurs de 50 pays en poste à Genève ont adressé une lettre au président du Conseil des droits de l'homme des Nations unies et au haut-commissaire aux droits de l'homme, dans laquelle ils ont évalué positivement les progrès accomplis dans le développement de la cause des droits de l'homme et la lutte contre l'extrémisme et le terrorisme au Xinjiang et ont affiché leur soutien à la position de la Chine sur la question du Xinjiang.

Personne ne peut priver le peuple chinois du droit de mener une vie meilleure et personne ne peut empêcher la Chine de progresser. Les États-Unis ne cessent de ponter la Chine du doigt sur la question du Xinjiang, se livrant constamment à de petites manœuvres et appliquant un « double critère » en matière de droits de l'homme. Ils ne cessent de salir et calomnier la Chine, mais tous ces efforts sont futiles et voués à l'échec.

(Rédacteurs :Xiao Xiao, Yishuang Liu)
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