Le double critère des États-Unis dans la lutte contre le terrorisme

Le 3 décembre, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté la « Loi de 2019 sur la politique des droits de l'homme des Ouïghours », qui se sert de prétendues questions relatives aux droits de l'homme pour attaquer les efforts de la Chine dans la lutte contre le terrorisme au Xinjiang et s'ingérer brutalement dans les affaires intérieures de la Chine.

Comme nous le savons tous, les droits de l'homme ont un large éventail de contenus, parmi lesquels le droit à la subsistance et au développement sont les droits de l'homme les plus fondamentaux, ainsi que les prémisses et le fondement de la protection des autres droits des individus et des collectivités. Sans un environnement social sûr et stable, le droit des individus à la subsistance et au développement ne peut être garanti, sans parler des autres droits, dont il ne peut alors encore moins être question.

Le Xinjiang est le principal champ de bataille de la lutte de la Chine contre le terrorisme et de son combat contre la radicalisation. Entre les années 1990 et le début de ce siècle, des attaques terroristes ont souvent eu lieu au Xinjiang, mettant gravement en danger la vie et les biens de tous les groupes ethniques et menaçant gravement les droits fondamentaux des mêmes groupes ethniques. C'est dans cette situation que le Xinjiang a adopté des mesures de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation, notamment par le biais de l'enseignement et de formations aux compétences professionnelles, des mesures qui sont non seulement conformes aux lois et réglementations chinoises, mais également conformes à l'esprit et aux principes fondamentaux des Nations Unies en matière de lutte préventive contre le terrorisme. Les faits ont prouvé que ces mesures pertinentes ont donné de bons résultats et sont bien accueillies et soutenues par les membres de tous les groupes ethniques du Xinjiang. De fait, la situation en matière de sécurité dans le Xinjiang s'est nettement améliorée, la pénétration de l'extrémisme religieux a été efficacement maîtrisée, les différentes ethnies sont unies et vivent en harmonie, les différentes religions cohabitent dans l'harmonie et le respect, la vie des gens est stable et paisible, le climat social s'est manifestement amélioré, le climat de vie s'appuyant sur des connaissances scientifiques et techniques modernes et un style de vie civilisé est de plus en plus fort, et les droits fondamentaux de la population de tous les groupes ethniques sont effectivement garantis. De plus, jusqu'à présent, il n'y a eu aucun cas de terrorisme terroriste violent dans le Xinjiang depuis trois années consécutives.

Malgré cette réussite, il est regrettable que le Congrès des États-Unis ait non seulement fermé les yeux sur les efforts du Xinjiang pour lutter contre le terrorisme et la radicalisation et protéger les droits de l'homme conformément aux lois et règlements, mais qu'il ait également fermé les yeux sur le développement économique, la stabilité sociale, l'unité ethnique et l'harmonie religieuse du Xinjiang. Au lieu de cela, les États-Unis maquillent la réalité des faits et calomnient les actions justes de la Chine contre le terrorisme et la radicalisation. Il s'agit clairement là d'un double critère sur la question de la lutte contre le terrorisme et d'une manifestation claire de leur hypocrisie sur la question des droits de l'homme.

En fait, afin de maintenir leur propre hégémonie, les États-Unis sont depuis longtemps habitués au double critère qui consiste à « prendre ce qui me convient, et rejeter ce qui ne me convient pas » sur la question de la lutte contre le terrorisme. Sous couvert des droits de l'homme et de la lutte contre le terrorisme, les États-Unis ont mené et ont déclenché des guerres en Afghanistan, en Irak, en Libye, en Syrie et ailleurs, causant la mort et des blessures à des millions d'innocents et provoquant le déplacement d'un grand nombre de réfugiés. Cependant, aujourd'hui, ils attaquent avec une malveillance extrême la méthode mêlant éducation et formation qu'utilise la Chine pour lutter contre le terrorisme dans le Xinjiang. Où sont la raison et la logique ici ?

Le monde entier peut voir de ses propres yeux les réalisations de la Chine en matière de lutte contre le terrorisme, de déradicalisation et de gouvernance sociale dans le Xinjiang. Les centres d'éducation du Xinjiang ont été créés et mis en place pour éliminer le terreau et les conditions propices à la multiplication et à la propagation du terrorisme et de l'extrémisme religieux, et à freiner efficacement la dynamique fréquente des activités terroristes. De nombreux observateurs internationaux ont pu comprendre l'urgence, la nécessité, la légitimité et la rationalité de l'éducation dans le Xinjiang lors de visites sur le terrain, affirmant que l'éducation a sauvé des étudiants happés par le terrorisme et l'extrémisme religieux, apportant d'importantes contributions à la lutte de la communauté internationale contre le terrorisme et la radicalisation.

À l'heure actuelle, le terrorisme et l'extrémisme religieux demeurent des problèmes communs à tous les pays et nombre d'entre eux recherchent activement des solutions fondées sur leurs conditions actuelles. Les États-Unis ont utilisé le prétendu problème des droits de l'homme pour calomnier et attaquer les efforts de lutte contre le terrorisme de la Chine au Xinjiang. Nous demandons instamment aux États-Unis d'abandonner immédiatement leurs doubles critères en matière de lutte contre le terrorisme et la radicalisation, de cesser de rédiger des textes à propos du soi-disant problème des droits de l'homme du Xinjiang et d'arrêter de s'immiscer dans les affaires intérieures de la Chine à travers les problèmes liés au Xinjiang.