Dernière mise à jour à 13h42 le 12/02
Face à l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus, le monde et la Chine sont dans le même bateau, exprimant son soutien à la Chine, et convergent en un courant de chaleur qui atteint le cœur ds gens. Cependant, à ce moment critique où le monde lutte contre l'épidémie, certains politiciens aux États-Unis ont lancé une série de manifestations politiques pour dénigrer la Chine. Ils attaquent la Chine et le système chinois, tentent de semer la discorde dans les relations de la Chine avec d'autres pays, foulent aux pieds la morale et la civilisation, créent des préjugés idéologiques et un virus de pensée de la guerre froide et érodent les relations internationales normales.
Quel genre de contraste est-ce donc ? C'est celui d'une incroyable anomalie ! Le succès de la prévention et du contrôle de l'épidémie par la Chine a fait que le monde entier a salué l'objectif fondamental du Parti communiste chinois, celui de servir le peuple de tout son cœur, ainsi que sa capacité à conduire les membres de tous les groupes ethniques à relever ce défi difficile. Mais plus le monde fait l'éloge de la Chine, plus les politiciens américains se livrent à des jeux à somme nulle. Au cours des derniers jours, ils ont joué la même vieille antienne et ont se sont livrés à toutes sortes de déclarations sinistres, se comportant de manière méprisable et ignoble en voulant profiter du malheur des autres, franchissant la ligne rouge de la bassesse de la civilisation humaine, et se montrant d'une totale inhumanité. Certains d'entre eux n'ont même pas pu s'empêcher de jubiler, affirmant ouvertement que, du fait de l'épidémie, « ce que la Chine perd peut être un gain pour les Etats-Unis. Ils n'ont qu'une seule hâte, exposer leur hideuse psychologie, celle qui voudrait que « le malheur des uns fait le bonheur des autres ».
Pour le dire franchement, si certains politiciens américains se montrent aussi étroits d'esprit et paranoïaques, c'est tout simplement parce qu'ils ont peur de ne pas pouvoir arrêter le développement économique et social de la Chine, la prospérité de sa population et la prospérité du pays. Dans leur logique absurde, la soi-disant menace pour les États-Unis, c'est que le Parti communiste chinois conduit le peuple chinois à obtenir des réalisations historiques et à réaliser un développement par bonds. Cependant, il est difficile d'avancer sans raison. Leurs paroles absurdes sans fin ne peuvent pas être le relais de l'opinion publique dominante. Il est reconnu par la communauté internationale que, sous la direction du Parti communiste chinois, plus de 800 millions de Chinois ont été sortis de la pauvreté et que plus de 400 millions de Chinois ont rejoint le groupe à revenus intermédiaires, ce qui a créé de grandes opportunités de développement pour le monde entier.
La justice est gravée dans le cœur des gens. Ces derniers temps, l'action du Parti communiste chinois dirigeant l'ensemble du pays dans la lutte contre l'épidémie a suscité un large respect et une admiration partout dans le monde : « le Parti communiste chinois a pris des mesures de sécurité sans précédent, construit de nouvelles installations médicales avec l'aide de la "vitesse chinoise" et les mesures de prévention ont été constamment améliorées, montrant l'excellente capacité de gouvernance du Parti communiste chinois et que les décisions politiques et les mesures de prévention et de contrôle de la santé prises par le Parti communiste chinois deviendront un jalon dans l'histoire de la gestion des pandémies humaines ». La communauté internationale estime généralement que, sous la direction énergique du Parti communiste chinois, la Chine est pleinement confiante, capable et certaine de remporter la bataille de la prévention et du contrôle de l'épidémie. Un Parti communiste chinois aussi responsable et qui assume ses responsabilités est une bénédiction pour La Chine et le monde.
Le fait que certains politiciens aux États-Unis persistent à se montrer têtus et à s'écarter de la réalité à quelque chose de comique. À une époque où la lutte contre les virus naturels est devenue une tâche urgente pour la communauté internationale, leurs esprits sont « éveillés » et pensent que le moment est venu de propager les préjugés idéologiques et le virus de la pensée de guerre froide. Ainsi, certains clament haut et fort que « la Chine est devenue le premier adversaire géopolitique des États-Unis ». Certains utilisé la situation de l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus pour semer la discorde au sein des relations entre la Chine et ses voisins, et ont même répandu des rumeurs dans les médias, affirmant que la Chine souhaitait aider l'Afrique à construire des centres de contrôle et de prévention des maladies pour voler de grandes quantités de données génétiques en provenance d'Afrique. Cependant, peu importe quand, les rumeurs qu'ils répandent pour semer le trouble font qu'ils ne pourront pas échapper à l'auto-destruction de leur image et à l'humiliation finale de l'Amérique. Les données du Pew Research Center de l'année dernière montrent que 45% des personnes interrogées pensent que les États-Unis constituent une menace majeure pour le monde. Il est triste de voir que le mal que s'auto-infligent les États-Unis est loin d'être négligeable, et que c'est peut-être même une menace majeure pour les États-Unis. Le monde doit être conscient que les préjugés idéologiques et le virus de la pensée de la guerre froide sont destinés à être le fléau des relations internationales.
Face à l'épidémie, la conscience se révèle et c'est face à la souffrance qu'on voit les vrais sentiments. En ces moments critiques, la communauté internationale a insisté sur le choix de la justice et de la conscience, a maintenu sa bonne volonté envers la Chine et s'est fermement engagée à ses côtés. La conscience d'une communauté de destinée humaine est devenue le courant dominant de la communauté internationale. Les gens peuvent pleinement croire qu'avec la puissance de la solidarité humaine, il sera possible de vaincre tous les virus.
Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère