Douter du taux de mortalité du virus en Chine n'est qu'une spéculation purement politique

Face à l'éruption soudaine de l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus, la Chine a toujours adhéré au principe de la vie en premier, maximisé le taux de guérison, réduit le taux de mortalité et n'a ménagé aucun effort pour sauver la vie de chaque patient. Dans cette épidémie soudaine et grave, de nombreux Chinois ont perdu la vie à cause de la maladie, plongeant le peuple chinois dans une affliction extrême.

La Chine a toujours été transparente sur les statistiques des patients et des décès, et chaque cas peut être clairement retracé tout au long du processus. Cependant, certains politiciens américains ont accusé à plusieurs reprises la Chine de « dissimuler des rapports d'infections et de décès » avec un cerveau comme atteint de folie politique afin de cacher leur inefficacité contre l'épidémie, soutenant contre les apparences et affirmant à tort que « la plupart des décès ont certainement eu lieu en Chine ». Il ne s'agit pas là seulement d'une sorte d'ignorance obstinée et obscurantiste, mais aussi d'un calcul sinistre doublé de déclarations irresponsables, qui cache de mauvaises intentions.

Comme le dit la sagesse populaire chinoise, la vie est plus importante que le mont Tai, et c'est la conviction que le gouvernement chinois et le peuple chinois ont toujours soutenu dans la lutte contre l'épidémie. L'épidémie a poussé la Chine à tirer parti de son système institutionnel et à constituer une force nationale conjointe. De nombreuses régions ont mis un « frein d'urgence » à leur vie économique et sociale. Les voies de déplacement de près de 60 millions d'habitants de la province du Hubei ont été fermées et plus de 10 millions d'habitants de la capitale Wuhan ont été confinés à domicile, afin de sauver des vies ! Des centaines d'équipes médicales se sont rassemblées rapidement, plus de 42 000 travailleurs médicaux de tout le pays sont venus dans le Hubei, les meilleures ressources médicales et les meilleurs experts respiratoires et infectieux se sont réunis à Wuhan, des millions de personnes se sont investies de diverses manières dans la guerre de défense contre l'épidémie de Wuhan et du Hubei, toujours afin de sauver des vies ! Wuhan a mené une enquête rigoureuse au maillage extrêmement fin visant à « ne laisser aucun foyer à l'écart » et « ne laisser aucune personne à l'écart » couvrant plus de 4,2 millions de familles dans la ville, afin de s'assurer que tous les patients soient accueillis et qu'ils soient tous traités, encore afin de sauver des vies ! Pour tous les patients graves et critiques, la politique « chaque personne est un cas à part » a été mise en œuvre. Le coût du traitement par habitant des patients sévères a été supérieur à 150 000 yuans, et le coût du traitement de certains patients critiques pouvait atteindre plusieurs centaines de milliers de yuans, voire plus d'un million de yuans, mais tout cela a été pris en charge par l'assurance médicale et le gouvernement, donc une fois de plus pour sauver des vies ! « Je n'ai jamais vu une telle mobilisation de ma vie », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation mondiale de la santé.

Dès que certains politiciens ont commencé à accuser la Chine de dissimuler le nombre de décès, même les médias occidentaux les ont contestés, affirmant sans ambages que c'était « absolument impossible ». L'ensemble du processus de guerre contre l'épidémie en Chine a été rendu public. Depuis janvier, la Chine a annoncé chaque jour le nombre de cas confirmés, le nombre de décès, de cas suspects, de contacts étroits et de personnes mises en quarantaine pour observation. Plus de 3 000 conférences de presse ont eu lieu au niveau national, provincial, régional et municipal pendant l'épidémie. Les représentants du gouvernement, le personnel médical, les experts et les universitaires, ainsi que les patients qui se sont remis de la maladie ont fait face aux caméras et répondu aux questions. Grâce à des efforts ardus, des résultats décisifs ont été obtenus dans la guerre de défense contre la maladie du Hubei et de Wuhan, et d'importantes réalisations stratégiques ont été réussies dans la guerre nationale de prévention et de contrôle de l'épidémie. Bruce Aylward, conseiller principal auprès du directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, a pour sa part répondu du tac au tac face aux questions provocatrices des médias américains: « La Chine n'a pas caché de données, ce qui peut être prouvé par de nombreuses enquêtes menées par le groupe d'experts de l'OMS en Chine », a-t-il souligné.

Le déclenchement de l'épidémie a été soudain, et cela exigeait une réponse urgente. Au début, en raison de capacités d'admission insuffisante, quelques établissements médicaux n'ont pas réussi à se connecter au système d'information sur la prévention et le contrôle de la maladie en temps opportun, les hôpitaux étaient surchargés, le personnel médical était débordé par les soins qu'il devait apporter et il y avait objectivement des rapports tardifs, des rapports manqués, des faux positifs ou des statistiques répétées. Cependant, le travail statistique est en cours et une fois que les conditions d'une vérification complète ont été remplies, Wuhan a mené une enquête approfondie, compilé des statistiques et fait une correction des données sur la situation épidémique en temps opportun, et elles ont été entièrement publiées dans le monde. C'est ainsi que l'on se montre responsable face à l'histoire, face aux gens et face aux défunts !

Cependant, même après que la Chine a publié les données révisées sur l'épidémie de Wuhan le 17 avril, certains politiciens américains ont estimé qu'ils avaient trouvé une faille inespérée et se sont montrés inexplicablement excités, clamant haut et fort que « les données chinoises ne sont pas crédibles », « ce n'est qu'une révision de ce qui s'est passé à Wuhan, et il y aura certainement d'autres villes à l'avenir ». Ces remarques sont ridicules. Ils semblent penser que plus il y aura de Chinois qui meurent, plus leur cœur sera satisfait, ce qui est vraiment une morbidité politique cruelle. Les internautes américains ont été outrés, et ils ont répondu avec colère : « Selon la proportion de la population, même si vous augmentez la rumeur colportées par certains selon lesquelles le nombre de morts et de malades en Chine est dix fois plus important, vous resterez toujours indignes ». « Chanter ses propres louanges en comparant ses chiffres avec ceux de la Chine, c'est une course au nombre de morts peut-être ? », « Voici tout ce que peuvent faire des gens de talent morbides, dérangés et anti-humains ! ».

L'OMS a demandé à chaque pays de réviser ses chiffres en temps opportun, « afin que nous puissions saisir l'impact de l'épidémie et prévoir les tendances avec plus de précision». Les données révisées sont une démonstration de responsabilité et de professionnalisme vis-à-vis de la communauté internationale. C'est une pratique internationalement acceptée et une preuve du respect par la Chine des principes d'ouverture, de transparence et de responsabilité. On pourrait légitimement demander, d'autres pays corrigent constamment leurs données sur l'épidémie et les États-Unis les corrigent constamment aussi. Alors pourquoi certains politiciens américains se concentrent-ils sur la Chine ? La raison en est évidente : c'est l'arrogance à l'américaine et l'arrogance idéologique auxquelles ces politiciens sont habitués. Dans leurs discours politiques arrogants, toute chose dans le monde que le monde fait mieux que les États-Unis est forcément une erreur, ou ils savent que c'est vrai, mais pour des besoins politiques, ils doivent se montrer arrogants, parler haut et ne rien faire ! Beaucoup de médias américains l'ont vraiment compris. Une enquête du New York Times a révélé que, selon les dernières données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) des États-Unis, du 8 mars au 11 avril, le nombre total de décès à New York, dans le New Jersey et dans sept autres États où la situation du COVID-19 était grave était près de 50% plus élevé que la normale. Mais l'augmentation soudaine du nombre total de décès a été incluse dans les statistiques des autres maladies. Une autre enquête d'ABC a souligné que les CDC des États-Unis ont effectué une analyse postérieure de l'épidémie de grippe H1N1 aux États-Unis en 2009 et 2010, et ont conclu que les vrais chiffres étaient probablement 15 fois plus élevés que les statistiques officielles.

Les sacrifices et le dévouement, les réalisations et les contributions de la Chine peuvent profiter au monde entier, et de cela la Terre et le Ciel peuvent en témoigner. Certains politiciens américains seraient bien inspirés de comprendre qu'ils ne pourront pas remplacer la réalité des faits quoi qu'ils fassent, et que tous les torrents de boue qu'ils déversent ne pourront jamais effacer la vérité. Il faut savoir qu'il n'y a aucune raison de s'inquiéter du taux de mortalité de l'épidémie en Chine et de chercher à semer le trouble pour cette raison. Non seulement cela ne servira à rien, mais en plus cela n'aidera pas les gens à lutter contre l'épidémie. Ceux qui le font ne feront que se tromper eux-mêmes et seront la risée du monde entier.

(Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)