Dernière mise à jour à 10h55 le 29/03
« Il y a 20 millions d'Ouïghours au Xinjiang, en Chine. Si la CIA peut en faire bon usage ... si vous voulez saper la stabilité de la Chine, le meilleur moyen est de créer des troubles et d'inciter les Ouïghours à perturber la Chine de l'intérieur ». C'est ce que Lawrence Wilkerson, chef de cabinet de l'ancien secrétaire d'État américain Colin Powell et colonel à la retraite de l'armée américaine, a déclaré personnellement lors du forum organisé par l'Institut Ron Paul pour la paix et la prospérité en août 2018.
Récemment, l'Occident, dirigé par les États-Unis, a recommencé à jouer la « carte du Xinjiang ». L'affaire du « coton du Xinjiang » en fait partie.

Un article de Lawrence Wilkerson dans le New York Times rappelant son aide à la planification de la guerre en Irak en 2003.
Créer des troubles au Xinjiang et freiner le développement de la Chine est un objectif depuis longtemps planifié par les États-Unis. Il y a trois ans, Lawrence Wilkerson n'a pas caché que le but du lancement de la guerre en Afghanistan par les États-Unis en 2001 n'était pas de combattre les Talibans ou d'aider l'Afghanistan à procéder à la reconstruction nationale, mais de préparer un nouvel aménagement de l'Asie centrale et d'exercer une pression militaire sur la Chine et le Pakistan. Lawrence Wilkerson a également souligné que la région chinoise du Xinjiang a toujours été un domaine d'intérêt majeur pour les États-Unis. Après s'être déployés en Afghanistan, les États-Unis pouvaient à leur guise susciter des troubles au Xinjiang, mais aussi à faire pression sur la stratégie chinoise « La Ceinture et la Route ».
En tant que force motrice du plan de lancement d'une guerre étrangère au cours de ces années, les remarques de Lawrence Wilkerson ont beaucoup de poids. Et de fait, les États-Unis ont atteint pas à pas leurs objectifs fixés à l'époque, conformément au « scénario », comme il l'a souligné.
Au sujet de la guerre en Irak lors de laquelle Lawrence Wilkerson était dans les coulisses, beaucoup de gens se souviennent clairement du moment où le secrétaire d'État américain Colin Powell a sorti une petite bouteille de poudre à l'Assemblée générale des Nations Unies, insistant sur le fait que c'était une preuve de la possession d'armes chimiques par l'Irak, et de l'invasion de l'Irak sans l'autorisation des Nations Unies qui suivit.
18 ans plus tard, les méthodes de manipulation des États-Unis n'ont pas changé, mais cette fois les accessoires fabriqués et présentés ne sont plus la petite bouteille de lessive ou de lait en poudre, mais le coton du Xinjiang.
Il y a quelques jours à peine, le département américain du Trésor a imposé des sanctions à deux responsables chinois sous prétexte de la soi-disant question des droits de l'homme au Xinjiang. Dans la zone de commentaires de Twitter où le secrétaire d'État américain Anthony Blinken a publié la nouvelle, certains internautes ont souligné : « comparons les différentes façons de lutter contre le terrorisme entre les États-Unis et la Chine : les États-Unis ont bombardé sans discernement, provoquant le déplacement de 37 millions de musulmans. La Chine a éliminé le terreau du terrorisme grâce à l'éducation, à la création d'emplois et à la lutte contre la pauvreté ».
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