Depuis septembre dernier, la coalition dirigée par les États-Unis a procédé à près de 1 000 frappes aériennes contre l'Etat Islamique, et il faut bien reconnaitre qu'elles ont eu un certain effet. Mais l'objectif de l'élimination de l'« État islamique » est encore loin. Cette organisation est encore très combative. Ils tuent les prisonniers, pillent et s'emparent de territoires, mènent des attaques terroristes, envoient des djihadistes étrangers revenir en cachette dans les pays occidentaux pour lancer des attaques terroristes, en bref on peut dire qu'il n'y a aucun acte criminel qu'ils ne commettent pas. Les pays occidentaux, dirigés par les Etats-Unis, ont bien essayé de faire face à cette situation, mais il semble manifestement que cela ne suffise pas.
Les États-Unis ont bien cherché à accroître leur soutien à l'opposition armée syrienne modérée pour inverser la situation actuelle, mais avec peu de succès. A l'évidence, l'opposition syrienne modérée ne saurait lutter efficacement contre les organisations terroristes présentes en Syrie, et c'est pour cela que les États-Unis ont finalement jeté leur dévolu sur le dirigeant du régime syrien, Bachar el-Assad.
Il ne fait guère de doute que les Etats-Unis n'aiment pas Bachar el-Assad. Mais actuellement, leur tâche la plus urgente est d'éliminer l'Etat Islamique. Plutôt que de laisser l'État Islamique continuer à se renforcer, mieux vaut profiter de la puissance des forces armées de Bachar el-Assad pour résister à la menace des organisations terroristes.
En fait, le changement de position des États-Unis a également été soutenu par l'opposition syrienne modérée. Cela fait quatre ans que le conflit dure en Syrie, et personne n'en voit la fin. Qu'il s'agisse des forces gouvernementales ou de l'opposition armée modérée, tous s'inquiètent de l'influence des exactions des groupes extrémistes islamiques. La guerre consomme aussi beaucoup de ressources financières et matérielles, ce qui fait que les deux parties se sentent affaiblies et fatiguées. C'est ainsi que l'opposition modérée et le gouvernement syrien ont commencé à explorer la voie du compromis. Et depuis des mois, Bachar el-Assad a également dit à plusieurs reprises que le gouvernement syrien est prêt à participer à la lutte contre les organisations terroristes. Et ce ne sont pas que des paroles en l'air : il y a eu des actions concrètes.
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