Dernière mise à jour à 08h40 le 20/11
Le Premier ministre français, Manuel Valls, a déclaré jeudi matin devant les députés que la France fait face à "une guerre nouvelle" et que le risque d'attentat à l'arme chimique sur le territoire national ne peut être exclu.
"Nous sommes en guerre ! (...) Une guerre nouvelle - extérieure et intérieure - où la terreur est le premier but et la première arme", a déclaré jeudi matin au Parlement le chef du gouvernement, lors d'un discours sur le projet de loi prolongeant et renforçant l'état d'urgence qui doit être voté jeudi par les députés.
"Il ne faut aujourd'hui rien exclure. Je le dis avec les précautions qui s'imposent, mais il y a aussi le risque d'armes chimiques, bactériologiques", a souligné M. Valls, notant que "l'imagination macabre des donneurs d'ordre est sans limites : fusils d'assaut, décapitation, bombes humaines, armes blanches, ou tout à la fois".
Le Premier ministre a fait cette déclaration avant le vote à l'Assemblée nationale sur le projet de loi présenté mercredi par le gouvernement français pour renforcer l'état d'urgence, décrété depuis vendredi après les attentats de Paris et Saint-Denis qui ont fait au moins 129 morts et près de 350 blessés.
Après le vote des députés, le projet de loi sera soumis vendredi au Sénat en vue de son adoption définitive.
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