«La construction de telles infrastructures reste coûteuse en termes de financement et de terrains urbains. Cela nécessite les efforts conjoints des autorités sportives et éducatives, des services de la planification urbaine, ainsi que des promoteurs immobiliers pour sensemble pouvoir élaborer des plans à long terme et améliorer les installations», a déclaré Chen Entang, vice-directeur du département des finances l'Administration générale des Sports.
Se trouvant dans les quartiers congestionnées du centre-ville, fin 2013 seulement 20% des 1148 établissements primaires et secondaires de la capitale étaient équipés d'un terrain de football grandeur nature, selon une étude publiée par le Comité de recherche l'Association d'éducation physique de Beijing plus tôt cette année.
«Une des solutions est de proposer des politiques préférentielles pour encourager les promoteurs immobiliers à construire des Street Soccer à petite échelle dans les collectivités», a ajouté Chen.
Le responsable a également souligné que le niveau d'accès aux endroits sportifs par résident dans le pays, reste loin derrière les puissances mondiales sportives comme les Etats-Unis et l'Allemagne.
Pour accélérer le développement du sport, ainsi que le bien-être public, le Conseil d'Etat a publié un plan national en octobre dernier, exhortant le gouvernement à relâcher son emprise sur ce marché, tout en encourageant les investisseurs privés et groupes non gouvernementaux à s'investir d'avantage.
Le Conseil d'Etat a fixé des objectifs pour augmenter la surface des sites par habitant à 2 mètres carrés en 2025.
Chen Entang pense que cet objectif peut être atteint si le potentiel de la construction des installations sportives dans les communautés résidentielles est remplie par la planification urbaine.