En réponse à l'appel des Etats-Unis pour la libération de Liu Xiaobo, la Chine a réitéré sa ferme opposition à toute ingérence extérieure dans sa souveraineté judiciaire et dans ses affaires intérieures.
"La Chine et les Etats-Unis travaillent ensemble à l'établissement d'un nouveau type de relations entre les grandes puissances. Nous espérons que la partie américaine gardera à l'esprit l'intérêt général des liens bilatéraux et contribuera davantage au renforcement de la confiance et de la coopération", a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hong Lei lors d'un point de presse.
Dans un communiqué publié lundi, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a exprimé ses préoccupations concernant Liu Xiaobo et Xu Zhiyong, et a exhorté les autorités chinoises à libérer Liu Xiaobo.
Le porte-parole a déclaré que la Chine était un pays de droit et que tous les citoyens étaient égaux devant la loi.
"Liu Xiaobo et Xu Zhiyong sont citoyens chinois. Ils ont violé les lois chinoises et doivent être punis en accord avec la loi", a expliqué M. Hong.
"Je veux réitérer que seuls les 1.3 milliards de Chinois sont qualifiés pour parler de la situation des droits de l'homme en Chine", a-t-il conclu.
"La Chine et les Etats-Unis travaillent ensemble à l'établissement d'un nouveau type de relations entre les grandes puissances. Nous espérons que la partie américaine gardera à l'esprit l'intérêt général des liens bilatéraux et contribuera davantage au renforcement de la confiance et de la coopération", a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Hong Lei lors d'un point de presse.
Dans un communiqué publié lundi, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a exprimé ses préoccupations concernant Liu Xiaobo et Xu Zhiyong, et a exhorté les autorités chinoises à libérer Liu Xiaobo.
Le porte-parole a déclaré que la Chine était un pays de droit et que tous les citoyens étaient égaux devant la loi.
"Liu Xiaobo et Xu Zhiyong sont citoyens chinois. Ils ont violé les lois chinoises et doivent être punis en accord avec la loi", a expliqué M. Hong.
"Je veux réitérer que seuls les 1.3 milliards de Chinois sont qualifiés pour parler de la situation des droits de l'homme en Chine", a-t-il conclu.