Dernière mise à jour à 09h08 le 15/05
En avril 2019, devant la Texas A & M University, Mike Pompeo a expliqué dans son discours comment la CIA a formé des agents : « Nous mentons, trichons, volons, et nous avons une formation complète... »
La peste noire du Moyen Âge a coûté la vie à un tiers des Européens. Des études historiques ont montré que les gens faisaient deux choses au moment où la pandémie semait la terreur : l'une consistait à faire une danser macabre ensemble, et l'autre à condamner les Juifs jugés coupables d'avoir apporté le virus.
Capture d'écran de la vidéo de son intervention.
Aujourd'hui, cette situation semble être de retour, mais les politiciens américains ont changé la cible de leurs attaques pour les Chinois. Récemment, l'argument selon lequel « la Chine vole le vaccin des États-Unis » est devenu un nouveau produit douteux et médiocre produit par des usines à rumeurs américaines. Comme l'a dit Hegel : « La seule leçon que l'humanité a apprise de l'histoire est qu'elle ne peut rien apprendre de l'histoire ».
La lutte mondiale contre l'épidémie est un miroir magique, révélant le visage sinistre de certains politiciens américains qui cherchent à politiser les problèmes de santé publique. Afin de remporter les élections de cette année et de se soustraire à leur propres responsabilités, les politiciens américains utilisent « le mensonge, la tromperie et le vol » pour créer une chaîne de fabrication de rumeurs et de mensonges au rythme de production quasiment industriel pour s'attaquer à la Chine, l'OMS et d'autres entités. Mais face au virus et à l'épidémie, ils sont totalement impuissants et ne pouvaient que faire semblant de se montrer détendus et passifs.
Le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, et le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, ont souligné à maintes reprises que la plus grande menace et l'ennemi auxquels le monde est confronté aujourd'hui, ce n'est pas le virus, mais la peur, les rumeurs et la stigmatisation.
La capacité de la communauté internationale à coopérer efficacement est liée à la lutte conjointe contre les épidémies et au bien-être des hommes. Les lamentables performances de Mike Pompeo et d'autres politiciens américains qui font fi des règles les plus élémentaires de la morale, retardant la réponse à l'épidémie des États-Unis, sapant la coopération internationale et empoisonnant les relations sino-américaines pour le plus grand malheur du peuple américain et plus largement pour le plus grand malheur des peuples du monde. Henry Kissinger a récemment écrit que « le monde d'après l'épidémie à nouveau coronavirus ne sera plus jamais le même ». Mais hélas, les politiciens américains sont aujourd'hui devenus la plus grande variable affectant l'unité, la coopération et le développement commun du monde.
L'épidémie à nouveau coronavirus a une nouvelle fois prouvé que la société humaine est une communauté de destin partagé. Tant que l'épidémie ne sera pas efficacement contrôlée dans tous les pays, aucun pays ne pourra prétendre être en sécurité. Comme les experts et universitaires chinois et américains dans le domaine de la santé publique l'ont écrit dans une lettre ouverte publiée dans le New York Times, il est temps de mener des échanges scientifiques transfrontaliers sur la base du respect mutuel, et non de diffuser des théories du complot ou de répandre des rumeurs sur l'origine du virus.
Dans cette épidémie, le virus est le seul véritable ennemi public de l'humanité. Plus les politiciens américains cherchent à masquer leurs propres erreurs, plus ils utilisent la Chine pour ressasser encore et encore des contradictions et plus il sera difficile pour le front mondial uni de lutte contre l'épidémie de se former. Aux États-Unis, la « guerre de la responsabilité des autres » a commencé avant la fin de l'épidémie. Ils utilisent le thème de la « responsabilité de la guerre » comme à Versailles en 1919 pour affaiblir le sujet de la guerre contre la maladie, et même le sophisme de la « compensation » a été élevé jusqu'à un niveau diplomatique. En se comportant en avocats du diable, ils se montrent rien moins que complices du virus.
Confrontés à la nécessité urgente de coopérer dans la lutte contre l'épidémie, les pays du monde entier sont confrontés non pas à choisir entre la Chine et les États-Unis, mais à un choix entre la vérité et le mensonge, la coopération et l'intimidation, et le multilatéralisme et l'unilatéralisme. Ce choix déterminera l'efficacité de la lutte mondiale contre l'épidémie, la vie de milliers de personnes et l'avenir de la communauté internationale.
Face à un ennemi public comme un virus, renoncer à l'unité et à la coopération revient à tourner le dos à l'ennemi, et l'on devient ainsi non seulement incapable de se protéger, mais on est aussi réduit à l'état de complice. Mike Pompeo et d'autres politiciens américains cherchent désespérément à faire porter le chapeau aux autres, ils se comportent en complices du virus. Certains universitaires américains ont déclaré que, alors que les États-Unis sont confrontés à la « plus grande crise de santé publique » de notre époque, le peuple américain « tolère » un secrétaire d'État qui se montre « incapable de promouvoir la lutte mondiale contre l'épidémie ». C'est une douleur pour le peuple américain et une douleur pour la civilisation politique.
Alors, vous Mike Pompeo et ses disciples, si l'on vous qualifie de « complices du virus », oserez-vous être d'accord ?
(Par commentaire spécial du Quotidien du Peuple en ligne)
C'est le gouvernement américain qui est responsable d'un si grand désastre, et en cherchant à en accuser les autres, il a complètement perdu la responsabilité dont un grand pays doit faire preuve.
(Par commentaire spécial du Quotidien du Peuple en ligne)
Voir plus :
1, Les personnes âgées aux États-Unis ont-elles encore le droit de vivre ?
3, Une question aux politiciens américains : attaquer la Chine vous permettra t-il de sauver des vies ?
5, Les États-Unis osent-ils montrer en temps réel ce qu'ils font pour lutter contre l'épidémie ?