Dernière mise à jour à 16h27 le 07/02
Récemment, deux articles publiés sur les sites Internet de The Economist et China International Television (CGTN) ont affiché des titres similaires sur les droits de l'homme, mais ils ont donné des réponses très différentes à cette question.
L'article publié sur The Economist est arrivé à la conclusion que les gens en Chine acceptent de manière frappante les mesures de contrôle de virus graves. En d'autres termes, les Chinois ne se soucient pas des libertés personnelles ou de la vie privée, ils pourraient donc tolérer ces restrictions lourdes, parfois un peu sinistres. Alors que l'article d'opinion sur la CGTN écrivait que les Américains aiment contester l'autorité, quand bien même elle serait bonne pour eux. Ils croient que s'ils portent des masques, c'est le virus qui l'emporte.
Voir un pays qui ne se soucie même pas de la vie de ses propres citoyens ou qui n'essaye même pas de protéger leur vie essaie maintenant de convaincre les autres qu'il travaille véritablement à protéger les droits de l'homme dans d'autres pays, cela relève vraiment de la plaisanterie.
Les droits de l'homme, qu'est-ce que c'est ? Et comment les protéger ? Ce n'est pas un slogan vide, c'est même concret et terre-à-terre. Dans la morosité de la pandémie COVID-19, le droit des gens à la vie est le plus important de tous les droits de l'homme. Voilà certainement une expérience de base pour toute l'humanité.
Au moins en 2020, le titre de pays avec les pires droits de l'homme devrai revenir aux États-Unis. C'est le pays qui a obtenu les pires résultats dans la lutte contre la pandémie et qui a presque renoncé à tout effort pour protéger sa population. Plus de 470 000 Américains ont perdu la vie à cause du COVID-19 jusqu'à présent, le plus grand nombre de décès dus au nouveau coronavirus dans le monde. On pourrait aussi y ajouter la discrimination raciale, devenue incontrôlable aux États-Unis. Rien que ces deux problèmes devraient suffire à clouer cette puissance occidentale hautement hypocrite au pilori de la honte sur les questions de droits de l'homme.
Les accusations lancées contre la Chine par les États-Unis et l'Occident sont complètement devenues une confrontation malveillante contre la gouvernance chinoise. Les Chinois en sont bien conscients maintenant. Nous ne croyons pas « qu'ils se battent pour les droits de l'homme pour les Chinois ». Nous sommes profondément dégoûtés par ce qu'ils font.
L'Occident devrait cesser de prétendre se soucier des droits de l'homme en Chine. Ce genre d'hypocrisie est tout simplement répugnant.