Dernière mise à jour à 11h16 le 12/08
Côté face, avec un haut-parleur devant lui, il a concocté un "virus politique", mais côté pile, la COVID-19 était partout derrière lui. Pendant plus d'un an, le gouvernement américain n'a pas réfléchi à la manière de lutter efficacement contre l'épidémie, mais par intérêt personnel et pour des considérations géopolitiques, il s'est acharné à utiliser l'épidémie pour réprimer la Chine, il s'est livré à des manipulations politiques et a sapé la lutte mondiale contre la maladie.
Auteur de l'illustration : Lu Lingxing
Tout en propageant la COVID-19, les États-Unis ont fabriqué un « virus politique ». Diffusant des théories comme le « virus chinois » et les « fuites de laboratoire » dans une tentative de politiser le grave problème scientifique de l'origine du virus, ils semblaient « avertir le monde », alors qu'en fait, ils ne faisaient que tromper la communauté internationale et répandre des « mensonges politiques ».
Les États-Unis sont la plus grand responsable de la propagation mondiale de l'épidémie. En tant que première puissance mondiale, les États-Unis ont laissé le virus se propager, provoquant une terrible aggravation de l'épidémie dans d'autres pays ; ils fuient leurs responsabilités et tentent d'utiliser l'Organisation mondiale de la santé comme un outil pour sauvegarder leurs propres intérêts. Refusant de respecter des mesures de quarantaine, refusant de porter des masques, le personnel américain à l'étranger considère la santé des autres comme quantité négligeable, et ne se conforme pas aux réglementations locales de prévention de l'épidémie, avec pour conséquence la propagation du virus ; malgré l'opposition de la communauté internationale, des rapatriements à grande échelle d'immigrants illégaux dans leurs pays a provoqué une augmentation de l'épidémie dans les pays d'Amérique latine.
Dans la bataille entre les humains et la COVID-19, l'unité et la coopération sont la seule option pour vaincre l'épidémie. Et les États-Unis, le « plus grand pays propagateur du virus », sont sur la route de la « diffusion du poison » et hélas probablement sans intention de faire demi-tour.
(Par Su Yingxiang)
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