Dernière mise à jour à 13h25 le 29/08
"Il me semble clair qu'exprimer que le droit à l'existence de l'Etat d'Israël n'existe pas ou (exprimer) le désir de détruire l'Etat d'Israël est une forme inacceptable d'antisémitisme moderne", a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, lors d'une conférence de presse aux côtés du Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le chef de l'ONU est arrivé en Israël, deuxième étape de sa tournée au Moyen-Orient, où il a rencontré lundi le Président Reuven Rivlin et M. Netanyahu, selon un communiqué publié lundi par l'ONU.
"Vous pouvez être absolument sûr que, en tant que Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies, je suis totalement attaché à cet égard (à ce que) le droit à l'existence de l'Etat d'Israël est clair et (que) le droit à l'existence en sécurité de l'État de Israël est clair", a-t-il souligné. En sa qualité de chef de l'ONU, M. Guterres a affirmé qu'il est de son devoir d'être à la fois un "courtier honnête" et le "messager pour la paix".
"Etre un courtier honnête signifie être impartial". Etre un courtier honnête signifie que tous les pays doivent être traités sur un pied d'égalité, à la fois par le Secrétaire général et par le Secrétariat que dirige le Secrétaire général. C'est pour moi très clair et vous pouvez être certain que ces valeurs seront confirmées", a souligné M. Guterres devant la presse et le chef du gouvernement israélien. "Mais je sens toujours qu'il est de mon devoir en tant que Secrétaire général d'être le messager pour la paix", a-t-il ajouté.
Pour le chef de l'ONU, le processus politique israélo-palestinien doit en parallèle être accompagné d'une amélioration significative des conditions de vie économiques et sociales des Palestiniens, "pour créer un dividende pour la paix afin que les gens puissent croire que la paix en vaut la peine".
M. Guterres a reconnu qu'un certain nombre d'obstacles demeurait, faisant référence à l'activité de colonisation, au terrorisme, aux violences, aux incitations à la violence et aux difficultés créées par la séparation entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. "Il y a donc un certain nombre de complexités qui exigent un vif désir de paix", a-t-il dit.
"Je dois dire en toute franchise que j'ai toujours eu un rêve, un rêve qu'un jour je pourrai voir en Terre Sainte, une Terre sainte où Jérusalem est une ville clairement liée, profondément liée à trois religions - cela ne peut être nié", a déclaré le Secrétaire général, espérant voir "deux États capables de vivre ensemble dans une reconnaissance réciproque, mais aussi dans la paix et la sécurité".
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