Dernière mise à jour à 09h53 le 10/10
Le président américain Donald Trump a appelé mercredi à mettre fin à l'enquête ouverte par les Démocrates en vue d'une procédure de destitution, un jour seulement après que la Maison Blanche a officiellement annoncé son refus de coopérer dans cette enquête, déclenchant des accusations d'obstruction de la part des Démocrates de la Chambre des représentants.
Dans une série de tweets, M. Trump a déclaré dans la matinée que "pour le bien du pays", les efforts des Démocrates en vue de le destituer "devaient prendre fin tout de suite".
Il a également affirmé que le lanceur d'alerte qui a déposé une plainte de signalement au mois d'août, affirmant que le président avait eu des échanges inappropriés avec son homologue ukrainien, "devrait être exposé au grand jour et interrogé de manière appropriée".
Face à l'intensification de l'enquête ouverte par les Commissions du Renseignement, du Contrôle et de la Réforme et des Affaires étrangères de la Chambre des représentants en vue d'une éventuelle procédure de destitution, M. Trump a répété que sa conversation téléphonique avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky n'avait comporté "aucune pression", et que le compte-rendu du lanceur d'alerte était "incorrect".
Dans une lettre adressée mardi aux présidents des trois Commissions et à la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi, l'avocat de la présidence Pat Cipollone a déclaré que M. Trump et son administration ne coopéreraient pas à ce qu'ils considèrent comme une "enquête partisane et inconstitutionnelle".
Mme Pelosi a répondu un peu plus tard dans la journée par un communiqué, dans lequel elle a affirmé que la Maison Blanche poursuivait ses efforts pour "dissimuler au peuple américain la vérité sur les abus de pouvoir du président", et que de tels agissements "seraient considérés comme une preuve supplémentaire d'obstruction".
Les affirmations de Mme Pelosi font écho à celles du président de la Commission du Renseignement de la Chambre, Adam Schiff, qui a déclaré mardi lors d'une conférence de presse que la décision du département d'Etat d'interdire à l'ambassadeur américain auprès de l'Union européenne Gordon Sondland de témoigner comme prévu devant le Congrès était une "preuve supplémentaire d'obstruction".
Donald Trump, de son côté, a continué d'imputer cette procédure de destitution aux motifs partisans de ses rivaux politiques, et a appelé à révéler publiquement l'identité du lanceur d'alerte qui a déclenché l'affaire. "Ce n'est pas un lanceur d'alerte. L'avocat du lanceur d'alerte est un Démocrate notoire", a-t-il affirmé sur Twitter.
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