Dernière mise à jour à 08h38 le 15/11
En Afrique du Sud, le Congrès national africain (ANC, parti au pouvoir) s'inquiète de l'instabilité au Zimbabwe mais nie toute proposition d'intervention.
Gwede Mantashe, secrétaire général de l'ANC, s'est exprimé à ce propos devant les médias lors d'une conférence de presse mardi à Johannesburg.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a limogé son vice-président Emmerson Mnangagwa la semaine dernière. Lundi, le commandant général de l'armée du Zimbabwe, Constantine Chiwenga, a déclaré que l'armée "interviendrait" si la révolution était menacée.
"Nous sommes évidemment inquiets car cela a un impact sur nous", a expliqué M. Mantashe tout en notant que c'est au gouvernement zimbabwéen et au Zanu-PF, parti au pouvoir dans le pays, de gérer ce problème.
L'ANC et le Zanu-PF sont étroitement liés depuis la lutte pour la libération. Ils se rencontrent périodiquement pour discuter des sujets de coopération mutuelle.
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