Dernière mise à jour à 16h33 le 18/11
147 000 nouveaux cas !
Selon les statistiques de l'Université Johns Hopkins, à la date du 17 novembre 18h, heure de l'Est, il y a eu plus de 147 000 nouveaux cas confirmés de COVID-19 aux États-Unis en une seule journée. Selon les statistiques du « New York Times », le nombre de cas dans tous les États du pays est actuellement à la hausse. Au cours de la semaine dernière, les États-Unis ont enregistré en moyenne environ 155 442 nouveaux cas de COVID-19 par jour.
Cependant, le gouvernement américain ne se préoccupe pas de son échec dans la lutte contre l'épidémie, mais il poursuit ses calomnies malveillantes. Récemment, les dirigeants américains ont encore qualifié le COVID-19 de « fléau chinois » sur les réseaux sociaux. Dans le même temps, la dernière étude de l'Institut national du cancer de Milan, en Italie, montre que le virus du COVID-19 a commencé à se propager en Italie en septembre de l'année dernière. À l'échelle internationale, des rapports font également état de nouveaux moments et de nouveaux lieux d'épidémie, ce qui prouve en outre que la traçabilité du virus est un processus de développement continu. La politisation du virus non seulement ne pourra pas sauver la vie du pays, il menace également la sécurité sanitaire mondiale.
Depuis l'éclatement de l'épidémie, les États-Unis n'ont ménagé aucun effort pour perturber la coopération anti-épidémie mondiale. Elle a strictement interdit l'exportation de matériel de lutte contre l'épidémie, coupé son financement à l'OMS et s'est engagée dans un nationalisme vaccinal. Ce comportement hégémonique place les États-Unis à l'opposé de toute l'humanité dans chaque nœud clé de la lutte mondiale contre l'épidémie. Une résolution globale sur l'épidémie de COVID-19 a été adoptée par la 74e session de l'assemblée générale des Nations Unies le 11 septembre. Le projet de résolution a été adopté à une écrasante majorité de 169 voix pour et deux contre, et les États-Unis étaient l'un des « deux ».
Comment les États-Unis ont détruit le calendrier de coopération mondiale contre l'épidémie. (Tableau Wang Xiaoxiao)
Après le déclenchement de l'épidémie aux États-Unis, le gouvernement américain n'a pas pris de mesures préventives efficaces à temps. Face à la flambée quotidienne des cas, le gouvernement américain a adopté le mode consistant à « faire porter le chapeau aux autres » et a attaqué d'autres pays et l'OMS sans cesse, les faisant passer pour des « boucs émissaires » pour son échec à faire face à l'épidémie.
Le 14 avril, le gouvernement américain a accusé l'OMS d'inaction dans la prévention et le contrôle de l'épidémie, a retardé et rendu opaque des informations sur la situation épidémique, et a annoncé qu'il suspendrait la fourniture de fonds à l'OMS. En fait, ce n'est pas tant une suspension de financement que des manœuvres dilatoires d'un débiteur. Car jusqu'à présent, les États-Unis ont encore des arriérés avec la plus grande partie de leurs contributions à l'OMS en 2019, et encore plus en 2020.
Dans le même temps, alors que l'épidémie devient de plus en plus grave sur le plan intérieur, les critiques du gouvernement américain envers l'OMS sont de plus en plus intenses. Le 6 juillet, les États-Unis ont informé les Nations Unies qu'ils se retireraient de l'Organisation mondiale de la santé en juillet 2021, une annonce dénoncée par Richard Horton, rédacteur en chef du magazine The Lancet. À un moment critique où le monde est confronté à une urgence humanitaire, le retrait des États-Unis de l'OMS équivaut à « jouer au voyou ».
Les vaccins sont la clé pour mettre fin à la propagation mondiale de l'épidémie. Développer et distribuer des vaccins de manière équitable fait l'objet d'un consensus commun entre les pays du monde entier. Cependant, les autorités américaines, conformément à leur posture de « priorité à l'Amérique», se sont engagées dans un « nationalisme vaccinal » depuis le début de l'épidémie.
A l'heure actuelle, plus d'une centaine de pays et régions ont rejoint le programme COVAX. L'objectif est de fournir au moins 2 milliards de doses de vaccin sûr et efficace dans le monde d'ici la fin de 2021. Cependant, les États-Unis ne sont pas intéressés par cela. A plusieurs reprises, l'OMS a appelé la communauté internationale « à éviter à tout prix les dangers du nationalisme vaccinal ». Mais l'Amérique va de plus en plus loin sur cette route.
De plus, les États-Unis n'ont pas renoncé aux sanctions unilatérales contre l'Iran, le Venezuela et d'autres pays à un moment où l'épidémie menace gravement la sécurité de la santé publique. Des étudiants iraniens ont écrit à l'ONU, en disant : « ces politiques inhumaines ont entravé l'accès des nouveaux patients atteints de COVID-19 aux médicaments nécessaires ». Cela a sans aucun doute aggravé la catastrophe humanitaire dans ces pays.
En fait, les États-Unis, avec les conditions médicales les plus avancées au monde, sont devenus le pire pays s'agissant de faire face à l'épidémie depuis que la maladie s'est propagée dans le monde. La communauté internationale a exprimé sa déception face à la mauvaise conduite des États-Unis. Il est généralement admis que face à « la plus grande crise au monde depuis la Seconde Guerre mondiale », les États-Unis n'ont pas fait preuve du leadership qui leur incombe et n'ont même pas pris une seule initiative correcte dans la lutte contre l'épidémie.
Le 22 octobre, le « New York Times » a publié un article intitulé « Les États-Unis et le virus : un colossal échec de leadership », citant Devi Sridhar, professeur de santé publique mondiale à l'Université d'Édimbourg au Royaume-Uni : « Il est triste que les États-Unis, loin d'être le leader de la santé mondiale, soient plutôt la risée du monde ».
Il est dommage de voir que les États-Unis aient ignoré toutes les critiques du monde extérieur et aient persisté à suivre leur propre chemin. Face à une catastrophe humanitaire où plus de 200 000 vies ont déjà été perdues, chacun espère que les États-Unis ouvriront enfin les yeux et se réveilleront.
Par Wang Zhengqi
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