Dernière mise à jour à 09h36 le 14/07
Le 22ème Congrès mondial du pétrole s'est achevé jeudi à Istanbul après avoir donné l'occasion d'inaugurer de nouvelles coopérations dans les années à venir.
"Le congrès a constitué une formidable occasion d'inaugurer de nouvelles coopérations,'' a déclaré le président du Conseil mondial du pétrole, Jozsef Laszlo Toth, lors de la cérémonie de clôture, au terme de cinq jours de fructueuses discussions.
"Nous voulons construire de nouveaux ponts dans les années à venir,'' a-t-il ajouté.
Le congrès d'Istanbul - qui avait pour thème ''Ponts vers notre avenir énergétique'' - avait pour objet de tenter de répondre aux questions et défis importants auxquels est confronté le secteur du pétrole et du gaz, à savoir les prospections de gaz non conventionnelles, le changement climatique, les émissions de carbone et les fluctuations des cours du pétrole.
Le prochain congrès se tiendra dans la ville de Houston, aux États-Unis, en 2020.
S'exprimant lors de la cérémonie de clôture, le maire de Houston, Sylvester Turner, a salué le congrès d'Istanbul et a dit : ''Ils ont placé la barre très haut pour les sessions qui se tiendront à Houston.''
Environ 3 000 délégués venus de plus de 90 pays ont participé au congrès, notamment des chefs d'État, des ministres, des responsables gouvernementaux ainsi que des représentants du secteur et d'organisations internationales.
Le Congrès mondial du pétrole, le plus grand événement du secteur, est organisé tous les trois ans par le Conseil mondial du pétrole, qui comprend 65 États membres à travers le monde et représente 96 % de la production et de la consommation mondiales de pétrole et de gaz.