Dernière mise à jour à 08h53 le 04/09
La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré dimanche soir qu'elle estimait que la Turquie ne devrait pas devenir membre de l'Union européenne (UE), sans pour autant aller jusqu'à fermer la porte à Ankara.
"Je ne vois pas la Turquie entrer dans l'Union européenne. J'ai toujours été de cet avis. C'était néanmoins différent pour le SPD", a-t-elle affirmé au cours d'un débat télévisé avec Martin Schulz, candidat du Parti social-démocrate (SPD), son principal rival aux prochaines élections.
Mme Merkel a cependant souligné que la cessation des négociations portant sur l'entrée de la Turquie dans l'UE était une décision qui ne pourrait être prise que par l'ensemble des Etats de l'UE.
"Une telle décision doit être soigneusement pesée", a dit la chancelière.
Mme Merkel a précisé qu'elle ne souhaitait pas mettre fin à ses bonnes relations avec la Turquie, ni priver la Turquie de toute opportunité d'accéder à l'UE, dans la mesure où au moins 50 % des Turcs désiraient en faire partie. Cette décision nécessite cependant une réflexion approfondie.
M. Schulz a déclaré au cours du même débat que s'il devenait chancelier, il mettrait fin aux négociations d'entrée de la Turquie dans l'UE.
Le café, l'or noir de l'économie burundaise
Les investisseurs chinois en quête de bâtiments emblématiques à l'étranger
L'UE bientôt dépassée par les Etats-Unis en tant que premier partenaire commercial de la Chine
Chine : poursuite de l'expansion de l'activité manufacturière en juillet
Le centre subsidiaire de Beijing, véritable vivier d'emplois
Un nouveau prototype de monorail dévoilé
Recrutement de China Eastern Airlines à Rome
Deux sociétés chinoises signent un accord pour un câble sous-marin de 6 000 km
Ceux qui veulent nous rejoindre sur la messagerie WeChat, scannez le code QR ci-contre.
Paiement numérique : les Pékinois, les plus à la page
Le nouvel aéroport international de Beijing en construction
La Chine s’invite à l’Expo universelle d’Astana
Escale inaugurale d'un porte-conteneurs chinois
Des médecins volontaires soignent les Tibétains