Dernière mise à jour à 09h17 le 19/08
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Des documents historiques publiés mardi montrent que, pendant la Seconde Guerre mondiale, des personnes au service de l'armée japonaise à Shanghai ont enlevé des femmes pour les revendre comme esclaves sexuelles.
En avril 1938, des individus pro-japonais au service de l'armée japonaise ont attiré des femmes chinoises dans des hôtels situés dans l'arrondissement de Hongkou à Shanghai,avant de les revendre comme "femmes de réconfort" à l'armée japonaise, selon les rapports d'enquêtes sur les crimes de l'année 1938 de la station de police de la concession internationale de Shanghai.
Quatre criminels ont été condamnés par les tribunaux, mais deux des principaux criminels qui se cachaient dans la région occupée par l'armée japonaise n'ont pas été arrêtés, selon les registres.
Le document publié par le Bureau national des archives est le quatrième d'une série de vidéos et d'archives révélant les souffrances des esclaves sexuelles sous l'emprise de l'armée japonaise il y a plus de 70 ans.
Cette série de documents est disponible sur le site officiel du Bureau.
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