Flash :

Les entreprises de télécommunications chinoises misent sur le Myanmar La Chine et la Russie s'engagent à élargir la coopération pratique Tchad : pénurie artificielle de gasoil (REPORTAGE) Mali: la Banque mondiale approuve un financement de 50 millions de dollars pour aider le Mali à sortir de la crise plus rapidement Le chef de la police angolaise réclame un examen des politiques de sécurité publique Guinée : l'absence de recadrage autour du dialogue politique menace la paix sociale déjà précaire Mali: sortie de la 25ème promotion de l'Ecole d'état-major de Koulikoro Togo/Législatives : 12 partis, 2 regroupements de partis et 15 candidats indépendants en course Zuma reconnaît son échec à remplir son objectif de redistribution des terres Paris condamne l'attentat meurtrier contre les locaux de l'ONU à Mogadiscio Journée mondiale des refugiés au Mali: 174 129 refugiés maliens recensés au Burkina Faso, au Niger et en Mauritanie Le Tchad face à des réfugiés de plus en plus nombreux (SYNTHESE) Le Kenya va décréter une loi pour lutter contre le port illicite d'armes légères Un tribunal égyptien confirme la libération de Moubarak sur les accusations de biens mal acquis Bénin: Des cartes de résidence permanent délivrées à titre gracieux aux réfugiés Le Congo réceptionne un avion MA 60 de fabrication chinoise Mongolie intérieure :compétition du Ski d'été à Yakeshi Beckham participe à une conférence de presse à Shanghai Echange de courriers entre les astronautes Wang Yaping et Barbara Morgan Affaire Kenyatta : le procès débutera le 12 novembre 2013, annonce la CPI

Beijing  Très nuageux~Pluie  30℃~21℃  City Forecast
Français>>Afrique

Guinée : l'absence de recadrage autour du dialogue politique menace la paix sociale déjà précaire

( Xinhua )

21.06.2013 à 13h22

Décidément, le manque de recadrage et la non poursuite du dialogue politique menace la paix nationale et la quiétude sociale en Guinée, compte tenu de l'atmosphère politique tendue et du dernier développement de la situation politico-sociale, assortis de violences.

Si les première conclusions du dialogue politique tenu récemment à Conakry entre l'opposition guinéenne, les leaders de la mouvance présidentielle, les partis politiques du centre et le collège des facilitateurs avait donner espoir aux populations guinéenne pour une sortie heureuse de la crise politique, la donne actuelle ne rassure pas assez quant au retour à un ordre favorable à la continuité dudit dialogue entre les acteurs politique.

Et pour cause, à peine transmis aux différents acteurs politiques et organes techniques, le rapport préliminaire dressé par le collège des facilitateurs a été de facto contesté par la classe politique de l'opposition qui estime qu'il ne prend pas en compte l'ensemble des préoccupations de l'opposition qui demeure partie prenante au processus électoral guinéen.

Certes, c'est la première fois que les acteurs politiques ont réussi à parler un "même langage" et ont accordé leur violon pour trouver un consensus sur un certains nombre de points techniques et politiques ramenant appelant l'intervention de la CENI et des partenaires au développement.

Il s'agit du vote des Guinéens de l'étranger désormais admis, de la sécurisation du processus électoral notamment l'établissement d'un fichier électoral fiable et transparent, nécessaire pour assurer la fiabilité des élections législatives prochaines.

Eu égard à toute cette panoplie de garanties sur le processus électoral et la volonté manifeste des acteurs politiques à mettre en place une structures de veille sur toutes les étapes du processus, le collège des facilitateurs a supplié la classe politique de reprendre sa place dans le dialogue et de participer ainsi aux prochaines consultations électorales.

Au nom des leaders de l'opposition regroupée au sein du Collectifs des partis pour la finalisation de la transition, de l'Alliance pour la démocratiques et le progrès (ADP), du Club des républicains (CDR) et du Front d'union pour la démocratie et le progrès (FDP), le porte-parole a récemment rappelé que l'opposition serait prête à se joindre au processus électoral avec l'opérateur technique actuel (Maymark), à condition qu'un certain nombre d'assurances, de préoccupations soient couvertes et de garanties.

Pour ce faire, il a mentionné la nécessité à ce que les élections soient inclusives et que toutes les conditions soient permises à tous dans les mêmes conditions et en particulier les leaders politiques de participer pleinement et librement à ces élections.

De même, la neutralité de l'administration territoriale par rapport aux élections, la reconstitution des Commission administratives de révision des listes électorales (CARLE) dans le respect du code électoral, et le recrutement deux experts qui viendront s'ajouter à l'équipe des experts internationaux pour vieller sur le processus.

Pendant ce temps, les membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) réuni en session plénière centrée autour de toutes les questions relatives aux élections, ont annoncé la tenue du scrutin le 28 juillet prochain sur l'ensemble du territoire national.

Aussitôt, ce nouveau chronogramme sera transmis au président guinéen Alpha Condé, aux institutions républicaines et au collège des facilitateurs pour appréciation et validation éventuelle, ainsi qu'aux différents leaders des partis politiques engagés dans le processus.

Devant ce qu'elle qualifie de violation du code électoral et de la constitution guinéenne, la classe politique de l'opposition dite radicale a interpelé le facilitateur international Saïd Djinnit à travers une correspondance pour marquer leur désapprobation et leur indignation face à un tel acte non conforme aux textes de lois.

Tirant les conséquences de droit, l'opposition a ainsi tenu à rappeler qu'elle ne sera partie prenante effective au processus électoral qu'après signature de l'accord politique global qui résultera du dialogue dont les avancées significative et les perspectives ne font l'ombre d'aucun doute.

Est-il donc opportune de rappeler que la reprise du dialogue politique et l'accélération des pas vers la tenue des élections législatives avant la fin d'année est une conditionnalité du maintien de la paix et de la finalisation de la transition que n'a fait que trop durée.

Articles recommandés:

L'homme qui a divulgué des secrets NSA doit être traité en héros

Lumière sur la 1re équipe de sauvetage maritime NBC de Chine

Dubaï : ouverture de la plus haute « tour spirale » du monde

Amarrage réussi entre Shenzhou10 et Tiangong1

Divorce de Rupert Murdoch et Wendi Deng

Vers les pâturages frais du Xinjiang

« Janus », le chat a deux têtes

Kate enceinte, sa dernière apparition en public

Les plus beaux châteaux du monde

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales