Dernière mise à jour à 08h37 le 08/02
Mardi, au moins vingt frappes aériennes ont ciblé des zones contrôlées par les rebelles à l'est de la capitale, Damas, et ont fait un nombre de victimes indéterminé, a rapporté l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
Les frappes ont ciblé les bastions rebelles de Jobar et Arbeen, dans la région de la Ghouta orientale, à l'est de Damas, a indiqué l'Observatoire.
L'organisme de surveillance établi au Royaume-Uni a précisé que les frappes aériennes ont été menées alors que se déroulaient d'intenses affrontements entre l'armée syrienne et les combattants rebelles dans cette zone, à l'est de la capitale.
Cependant, les raisons qui ont été à l'origine de ces affrontements et des frappes aériennes ne sont pas connues, car ce front est resté relativement calme depuis que le cessez-le-feu parrainé par la Turquie et la Russie est entré en vigueur, le 30 décembre.
Le bruit des appareils et des bombardements a été clairement entendu à Damas mardi ; les rebelles ont procédé à de nombreux tirs de mortier sur la capitale - dont un est tombé à proximité de la faculté de droit, dans le centre de Damas - mais le nombre de victimes n'a pas encore été déterminé.